Cet endroit devrait être un passage obligatoire pour tous les touristes français ayant du mal à dépasser leur ethnocentrisme et qui pensent que Londres est une belle capitale, mais qu'on y mange très mal.
J'ai eu la chance d'y rencontrer mes amis de vacances Jason et Martin à l'occasion de mon anniversaire. J'étais extrêmement curieuse de participer à un "lunch" dominical "so british". Au St. John le lunch dominical commence plutôt à 2h de l'après-midi (très difficile d'y obtenir une table) ce qui est tout à fait jouable dès lors que l'on a opté pour unpetit-déjeuner anglais.
Vous avez donc largement le temps de visiter d'abord le Musée Tate Britain, de prendre ensuite la navette pour le Tate Modern et de traverser ensuite à pied le "Millennium Bridge" afin de vous rendre à pied dans ce restaurant branché. En y allant vous traverserez la halle du marché de viande en gros "Smithfield Market" qui écoule environ 120 000 tonnes de denrées chaque année. Autant vous dire que ce restaurant semble s'être installé directement à la source.
Car le St. John plaira plus particulièrement à tous ceux qui aiment la viande, son logo est un cochon de lait et sa devise "du groin à la queue". Et voici la clé du succès de ce restaurant : d'excellents produits, une cuisson parfaite, pas de sauces inutiles et des accompagnements alternant divers "greens" croquants et des pommes de terres très haut de gamme. Le personnel, tout de blanc vêtu (un savant mélange entre tenue de chirurgien et tenue de boucher), explique patiemment et sans condescendance les différents morceaux de bœuf, de porc voire de poulet que vous allez déguster.
Ne le dites pas à mes proches, mais j'y ai mangé en entrée des tartines de pain à la moelle, du cochon de lait (plat du jour) et en dessert je n'ai pas pu résister au jelly à la rhubarbe qui fait tant rigoler les français...et j'ai adoré ! Hélas, on n'a pas pu goûter le dessert qui faisait rêver ma copine Ariane à base de meringue, chantilly et rhubarbe et qui apparemment n'était réservé qu'aux "happy few".
Nous avons choisi le champagne et le vin maison dans une liste à très bon rapport qualité prix. Même le café était bon, que demander de plus?
Bien sûr, le restaurant est un peu du côté "spendy". Mais vous payez pour la qualité des ingrédients, le service et la technique. Où diable avez-vous déjà mangé à un niveau Michelin sans pompe à 40 livres par tête?
Bref, si vous êtes à Londres et que vous aimez la nourriture, cette adresse est un "must have" !
C'est l'histoire de
cinq mecs qui ont mis leurs compétences en commun pour créer le webzine
"so
blink" qui vous propose depuis à peine 3 mois un regard
alternatif sur l'actualité de la communication et de la "réclame".
A
l'origine de cette aventure : Yoann Sirvin (webdesigner et
passionnée de graphisme débarqué fraîchement à Bordeaux), Nicolas
Hustache, Yoann Saubot, Antoine de Rivasson (tous
trois en 4e année à l'ISEG Bordeaux) et enfin Antoine Schoenfeld
(photographe professionnel).
Nous les avons rencontrés pour vous !
Béatrice Vendeaud : Quel est le concept de "so blink" ? "so blink" : Notre idée est d'écrire et de partager, de créer une communauté
voire une plateforme pour "publivores" en apportant un regard sur
l'actualité de la com' plus décalé et plus ludique. "So blink" est
aussi un projet qui veut ringardiser le mot "buzz" utilisé aujourd'hui à
outrance. Pour plus d'infos lisez aussi notre manifeste.
Béatrice Vendeaud : Le choix du nom ? "so blink" : "Blink" signifie "clin d'oeil",
choisi parce que c'est un mot court et fort et une onomatopée évoquant
l'univers de la bande dessinée. Bref, on a choisi une expression qui
n'impose pas a priori une signification concrète.
Béatrice Vendeaud : Next step ? "so blink" : Intégrer
des filles dans cette équipe très masculine
et notamment une blogueuse déjà reconnue dans le monde de la
mode ou des bonnes plumes dans des domaines précis comme le
cinéma. Créer une newsletter afin de fédérer davantage la
communauté naissante (fans Facebook, visiteurs, amis, professionnels de
la communication) et peut être organiser à terme des événements.
On a tous vu à la télé ou dans la rue en affichage, la campagne de communication de l’Armée de terre. En effet, les forces armées continuent de faire la promotion de leurs métiers, après leur très bon site événementiel de la marine nationale : « être marin », c’est l’armée de terre qui lance une nouvelle campagne de communication pour recruter. Pour cela ils ont sorti un site particulièrement interactif avec comme mot d’ordre : la Proximité et l’authenticité sur www.devenezvousmeme.com
Il y a un véritable échange, une communication à double-sens avec la jeunesse d’aujourd’hui pour permettre aux jeunes de se projeter sur les métiers de cette force armée. C’est pourquoi elle a choisi d’avoir recours aux témoignages de soldats exposant leurs motivations pour s’engager et leur satisfaction concernant leur métier, expliquant au passage le changement positif dont ils ont bénéficier.
En ce qui concerne sa communication, elle est orientée recrutement et basée sur des films (diffusés sur plus de 24 chaînes pendant 3 semaines, avec une reprise en septembre et une diffusion en salles obscures en juin), des annonces presse et des affiches invitent tous à se rendre sur ce site, le point d’orgue de l’opération, sans oublier le mobile (e-pub, référencement et outils de visibilité).
On a donc affaire ici à une stratégie de communication multi-canal très bien pensée, qui devrait récolter bon nombres de signatures à l’engagement. Concernant le site à proprement parler, il est très bien conçu, très pro. L’internaute plonge de suite au cœur du monde Armée de Terre, excellent pour l’immersion. Les différents profils, suffisamment variés, alliés à la richesse des informations disponibles sur ce site, devraient combler toutes les curiosités.
Cela fait maintenant un an que English service a été lancé. Plusieurs agences françaises même font parti de ses clients comme : « TBWA » et « Corporate et because » Ce service est dirigé par un groupe de journalistes britanniques expérimentés et multilingues. Ils sont spécialisés dans la communication internet et le B2B de sociétés françaises. Le but est d’interviewer en français ou même dans d’autres langues afin, par la suite, de créer du contenu en anglais.
Pour les grands groupes de l’Hexagone, il n’est plus d’actualité de parler entièrement en français dans leur communication interne. Il faut se mettre à l’anglais pour faciliter la compréhension à l’international. Selon Trevor Huggins, gérant d’English Service. “La tendance est désormais de créer un support ‘Master’ en anglais, pour ensuite le décliner en versions multilingues. C’est une situation qui favorise les journalistes capables de conjuguer l’expérience et la maîtrise des principales langues européennes.”
La société, basée à Londres, compte 99 années d’expérience professionnelle dans le journalisme entre ses collaborateurs (d'après un communiqué d'English Service).
IKEA
Un groupe avait déjà parlé d’IKEA dans une revue de presse. Et nous allons en reparler car ils ont encore frappé fort. Ils se sont installés dans quatre stations du métro parisien, qu’ils ont équipés de canapés et lampes de la célèbre marque suédoise...
Pour éviter les bancs durs et froids, pendant deux semaines, de confortables canapés sont utilisables pour les passagers du métro parisien, à Saint-Lazare, Champs Elysées Clemenceau, Opéra et Concorde. Situés en dessous des affiches publicitaires de la marque suédoise Ikea, les sièges prolongent la pub sur le quai. Objectif: faire tester aux Parisiens les nouveaux modèles de la collection, et montrer qu’il s’agit de canapés «tout-terrain». Cependant, des groupes de danseurs déguisés en « SDF » ont décidé de s’opposer à cette action, en dansant dans la station de métro de Concorde, et en sautant sur les canapés. Ils dénoncent la suppression des bancs des stations pour empêcher les SDF de s’y installer. Il faut maintenant se demander si leur action est vraiment justifié et efficace.
BMW lance un espace éphémère avec l'agence Posterscope
Dans le cadre du lancement de la nouvelle Série 5, BMW France et Posterscope ont imaginé un dispositif exclusif associant affichage et mises en scène événementiels, au cœur du hall 2 du terminal Orly Ouest. L’opération a débuté le 18 mars et se déroule jusqu’au 14 avril 2010. Le projet, inédit par son ampleur, est une première en France et a été réalisé avec l’expertise de JC Decaux Airport. Ce dispositif événementiel reflète la signature de la nouvelle campagne BMW Série 5 : « La joie célèbre la beauté ». La beauté est à l’honneur avec la reproduction de la « sculpture cinétique BMW » suspendue au centre du Hall 2.
L’original de cette sculpture magistrale est présent au musée BMW à Munich et est composé de 700 sphères métalliques capables de reproduire toutes les formes des modèles emblématiques de la marque BMW. Huit prix internationaux ont été décernés à cette sculpture cinétique BMW, le dernier en date étant le Lion d’Or du Cannes Lions Award 2009. La reproduction de la sculpture a été élaborée pour BMW par l’agence berlinoise Art+Com. Cette sculpture surplombe un stand de 65m2 où la nouvelle BMW Série 5 exposée est accessible aux voyageurs. Ils peuvent la découvrir en détails avec l’aide de conseillers BMW.
Krafts Food France est en train de lancer une nouvelle campagne sur les péchés capitaux pour mettre en avant Suchard… Pour cet évènement, Suchard a rouvert la maison des plaisirs défendus au Scopitone… Appelé le 8 en référence au 8ème péché capital, deux soirées seront organisés par la marque dans une ambiance feutrée et intimiste où plaisirs et gourmandises sont de rigueur. Pour mettre en avant cette opération, Suchard (Groupe Kraft Foods France) via son agence de RP Albine & Co et Mindshare (pour l’achat d’espace) a créé une application Facebook qui nous permet de taguer nos « pires ennemis » via les 7 péchés existants… Les personnes ayant été le plus taguées, auront peut-être la chance d’être invité à la soirée Suchard au 8.
Parmi les activités proposées pendant la soirée, on pourra trouver : • Des cocktails à base d’Absinthe pour les avares; • Une salle de Défouloirs pour les adeptes de la colère; • Un strip choco chic organisée par les effeuilleuses Gentry Girls pour les adeptes de la gourmandise et de l’envie; • Un lit King Size pour être initié par deux maitres du Kama Suchard aux plaisirs de la Luxure; • Une salle dédiée à la Paresse ou les convives pourront écouter la lecture de textes de Frédéric Beigbeder; Enfin, il y aura dans la salle du Scopitone tous les soir des artistes comme The Tallest Man on Earth, Geek Conspiracy ou encore Kiss the Girl et Buzz l’ekler pour rythmer et animer la semaine du 8… 13ème Rue : Dernier Appel avant de mourir…
13ème rue est la première chaîne du câble et du satellite en termes de durée d’écoute par téléspectateur et se maintient dans le top 5 des chaînes les plus regardées toutes cibles confondues. Sur CanalSat, 13ème Rue conserve son statut de numéro 1 avec une part d’audience qui se maintient à 2,5 % sur l’ensemble de la population.
13ème Rue vient de lancer une opération de marketing interactif pour le moins originale. En effet, avant de commencer la séance de cinéma, les spectateurs sont invités à envoyer leur numéro de téléphone et pendant le film le personnage principal en appel un au hasard pour lui demander de l’aide… Il s’en suit une course poursuite avec un tueur, rythmé par la personne au téléphone qui accompagne de ses conseils le héro de mini-film. 13ème Rue reprend la technique du « Call4U » qu’à utilisé l’agence Buzzman pour l’opération Chabal.
Le consommateur devient une marque
Une publicité sans produit ni logo c’est la grande tendance du mois. C’est ce que propose la dernière campagne de Spécial K aux États-Unis. Cette marque n’est pas la seule à modifier son discours pour replacer le consommateur au cœur du message. Procter & Gamble, Benetton, Alfa Roméo, Disney… Panorama des initiatives actuelles où la marque s’efface derrière les clients. Le but est de renforcer la relation entre l’entreprise et ses consommateurs et ainsi les mettre en avant. Cette association permet à la marque de confondre les valeurs de la marque et celle du consommateur. Spécial K fait disparaître ses produits pour mieux valoriser les consommatrices. Le changement de stratégie est tel qu’il a été souligné dans un long article du New York Times. Jusqu’à présent, Spécial K, une marque de Kellogs, communiquait avant tout sur ses nouveaux produits (jusqu’à neuf variétés de cornflakes aux États-Unis), en expliquant qu’ils permettaient de perdre du poids si on les substituait aux repas traditionnels. Mais dans sa nouvelle campagne, lancée à la télé américaine en janvier derniers, les produits, et même le logo de la marque, ont totalement disparu.
Spécial K donne la parole à de « vraies » femmes. « Elles ne représentent pas une vision idéalisée de la perfection, » précise la marque. Ces femmes témoignent sur les raisons qui les poussent à vouloir maigrir. L’une veut prouver à sa fille qu’elle y arrive, une autre en a assez de cacher son ventre avec ses bras, etc. La marque n’est présente qu’en toute fin de ces spots, avec une voix qui donne la signature : « Be victorious – Take the Special K Challenge ».
La victoire de ces femmes ne doit pas se réduire aux produits que la marque apporte sur leur table, explique un responsable de Kellogs : « Il faut permettre aux consommatrices de faire partie de l’histoire et d’être sous le feu des projecteurs ».
Microsoft : moi, le consommateur qui a pris le pouvoir
Cela fait quelques mois que s’exprime la tendance, chez certaines marques, de remettre véritablement le consommateur au cœur de leur discours. « Windows 7, c’était mon idée » (Microsoft), « Coca-Cola Light, vraiment moi-même », « Venez comme vous êtes » (Mac Donald’s), etc. Selon Françoise Hernaez-Fourrier, de l’institut d’études TNS Media Intelligence, citée par Le Monde, ce recours au « je » et au possessif « mon » tend à humaniser la marque et à reconnaître la prise de pouvoir du « conso-décideur »
Des affiches d’Alfa Roméo pour aider les particuliers à vendre leur voiture
En Belgique, Alfa Roméo a proposé une campagne interactive d’un nouveau genre. Lors du Salon de l’Automobile de Bruxelles, en janvier dernier, la marque a mis en place 50 affiches qui offraient la possibilité aux passants de déposer une petite annonce pour vendre leur voiture. Avec l’objectif bien sûr qu’ils vendent leur véhicule pour s’acheter un nouveau modèle d’Alfa Roméo.
Des promotions qui récompensent les comportements citoyens
Les Américains qui feront en 2010 une journée de bénévolat dans le réseau associatif HandsOn recevront un billet d’entrée gratuit dans le parc Disney de leur choix. Le programme est baptisé « give a day get Disney day »
Dans le même esprit, l’hôtel Burnham à Chicago a lancé une opération dénommée « Casual Blue » : ceux qui laissent dans leur chambre d’hôtel une paire de jeans (usée mais portable) profitent d’une réduction de 10 dollars sur le prix de la chambre. Les jeans sont remis à une association caritative locale.
Ces exemples, parmi d’autres, s’inscrivent dans une tendance forte : baser les réductions sur les comportements citoyens des consommateurs, et non sur leur fidélité à la marque.
Benetton lance un casting mondial pour trouver les représentants de la marque
Mettre en scène ses clients, c’est aussi trouver de « vrais » gens pour incarner la marque. Benetton a lancé le 8 février un casting mondial pour choisir les visages de sa prochaine campagne. Nom de l’opération relayée par des annonces presse : « It’s my time ». Ici encore, on note le changement de ton de la marque qui, dans le, passé jouait plutôt sur la provocation ou sur l’éveil des consciences (homme tatoué du VIH, campagnes contre le racisme, lutte contre la faim, etc.) Désormais, le style et la personnalité des consommateurs sont au cœur du message et portent l’image de la marque. Download Rdp.Moreau.sangare.pdf (1040.2K)
Revue de Presse réalisée par Cyprien SANGARE et Jérémy MOREAU - Étudiantes en ISEG
Programme EXECUTIVE, 3e année -ISEG
Bordeaux
"Logorama", un
court métrage du collectif H5 retenu par la Semaine de la critique.
Réalisé en images numériques, "Logorama" est un pastiche de film
d'action dont chaque personnage est une image de marque : Ronald
McDonald est un tueur psychopathe, et la goutte d'huile Esso une
serveuse de bar aguichante.
Le
film a enthousiasmé ses premiers spectateurs, mais son sort est
incertain. Il n'est pas sûr que toutes les marques trouvent l'affaire
drôle. Pour ces graphistes qui ont travaillé dans la publicité, le film,
dont des logos sont les héros, est "un droit de réponse", selon
l'expression d'Hervé de Crécy, l'un des réalisateurs, un canular et un
moyen d'amorcer un débat sur une idée de la liberté d'expression qui
permet qu'on caricature les personnes physiques mais pas les marques.
SFR engage diverses actions : partenariat, mécénat et évènementiel (Le magazine « Evénementiel » et « l’UDA » présentent ces actions)
Stratégie de communication autour de 3 axes :
1. Sport 2. Culture 3. Musique
Sachant que près d’un Français sur deux est un abonné SFR, la volonté de SFR est d’être une marque associée à ses évènements.
1. Dans l’univers du sport
Trois disciplines pour toucher trois publics cibles différents :
• Le football : portée populaire et universelle – large public • Golf : professionnels et CSP+ • La glisse : cible jeune
Le but : créer de la proximité avec son public :
1.1 Les actions sport concrètes
• Partenaire de l’équipe de France de football depuis 1996 et parrain de la Coupe de France depuis 2001.
• Partenaire de la fédération française de golf depuis 2006
• Partenaire des Winter X Games Europe 2010 à Tignes
2. Dans l’univers de la musique
L’objectif du groupe est de mettre en relation des jeunes talents avec le monde professionnel qu’il souhaite intégrer.
2.1 Le actions musique concrètes
• Partenaire de neuf festivals en 2009 (Printemps de Bourges, Les nuits sonores à Lyon…) • Expérience musicale à 360 °C via le portail web et mobile depuis 2008.
Au niveau évènementiel :
• Concerts au Studio SFR • SFR Jeunes Talents
3. Dans l’univers culture et citoyenneté
SFR s’investit pour favoriser l’égalité des chances par le biais de ses produits et services et son implication dans la société. Actions de proximité. Des projets soutenus par la « Fondation SFR »
Pour chaque partenariat, SFR déploie des applications pour mobile et Smartphones afin d’offrir une prolongation de chaque l'événement.
3.1 Mécénat
• Partenaire d’Emmaüs Défi (entreprise d’insertion) depuis janvier 2010.
Culture :
• Partenaire du salon du livre 2008 • Partenaire de Paris Photos (rendez vous mondiale photos
Pour ses 50 ans, Télé 7 Jours s'offre une couverture en 3D avec Johnny Hallyday
Pour ses 50 ans, Télé 7 Jours sort un numéro collector avec une couverture interactive de Johnny Hallyday.
Grâce à un procédé innovant, appelé "Réalité augmentée", la couverture s'anime en 3D. Le principe est simple. Il vous suffit de vous rendre sur www.tele7.fr/50ans et de placer la couverture face à la webcam de votre ordinateur.
Vous verrez alors Johnny Hallyday "sortir" du magazine pour fêter un joyeux anniversaire aux lecteurs de Télé 7 Jours.
C'est la première fois qu'un titre utilise ce procédé en France.
Parmi les autres nouveautés de ce numéro: des témoignages des personnalités du petit écran, une rétrospective de 50 ans de jeux TV, d'info et de divertissements, les objets qui ont révolutionné la vie du téléspectateur, une photo étonnante réunissant toutes les stars de séries de ces dernières années... soit au total 20 pages supplémentaires.
Ce numéro anniversaire de 172 pages sera exceptionnellement mis en vente pendant 15 jours.
Semaine de la publicité 2010
Organisée comme à son habitude par l’AACC, le thème retenu cette année est : « La créativité peut elle sauver le monde »
L’idée d’un tel thème est bien évidemment en lien avec le contexte actuel :
• Une crise qui a touché l’ensemble des secteurs d’activité • Une perte des repères • Une défaillance des outils de mesure habituels • Une nouvelle définition de la valeur
Un tel contexte donne donc l’opportunité de repenser de réinventer le monde d’après, via la créativité.
L’idée est de sensibiliser le grand public à l’univers de la publicité. Un programme spécifique par ville est mis en place, notamment à Bordeaux :
• Table ronde autour du thème la créativité peut elle sauver le monde ?, participation de Directeurs Artistiques, Créatifs et designers. • Conférence autour du « l’entreprise 2.0 – La télévision du futur – Radio et nouvelles technologies » • Exposition
L’occasion d’apporter un éclairage nouveau sur les enjeux de la communication dans cette société en pleine mutation.
Une semaine de presse à l'école
La 21ème édition de la semaine de la presse et des médias dans l'école s'est achevait samedi. Tous les ans, cette semaine vise à sensibiliser les élèves, de la maternelle aux classes préparatoires, au fonctionnement des médias, afin de développer leur goût pour l'actualité et leur jugement critique. Cette année, le thème retenu était : « Qui fait l'info ? ».
L'un des temps forts de cette semaine a été l'interview de Luc Chatel par des élèves de CM2 de l’école Martel (Paris Xe), dans les studios de l'atelier radio de France Info. Dans les conditions du direct, avec l'aide de journalistes et de techniciens, les enfants ont réalisé un journal d'une dizaine de minutes.
Partout ailleurs, les initiatives se sont multipliées : réalisation de reportages télévisés par les élèves, exposés sur les diverses étapes de la fabrication d'un journal, participation à des conférences de rédaction, analyses comparées du traitement d'informations identiques par différents supports, ateliers d'écriture journalistique, étude de l'influence de l'apparition de réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter dans le paysage médiatique...
Au total, près de 5 000 rencontres réunissant élèves, enseignants volontaires et professionnels de l’information ont été organisées dans toute la France, avec l’appui de l’ensemble des supports (presse écrite, télévision, radio et internet).
Phénix UDA : Michel & Augustin décroche l'or
La 23e édition du palmarès 2010 des Phénix a eu lieu le 22 Mars (campagnes dont la combinaison médias, hors-médias, médias numériques sert de façon innovante la relation entre la marque et le consommateur.) UDA a attribué 4 récompenses contre 6 l’an dernier. L’an dernier, un Grand Prix avait été décerné à titre exceptionnel à la Sécurité routière. Les lauréats sont cette année • Michel & Augustin • McDonald's • Arjo-Wiggins (industrie papetière) • Creative Papers • Evian, qui remportent respectivement un Phénix d'or, un d'argent et deux de bronze. Ce qu’on retire de ces Phénix la dimension : affinitaire pus largement pris en compte par les annonceurs en période de crise.
Michel et Augustin ont par exemple placé le consommateur au cœur de leur démarche en privilégiant un retour à l’émotion.
"Logorama", un court métrage du collectif H5 retenu par la Semaine de la critique. Réalisé en images numériques, "Logorama" est un pastiche de film d'action dont chaque personnage est une image de marque : Ronald McDonald est un tueur psychopathe, et la goutte d'huile Esso une serveuse de bar aguichante.
Le film a enthousiasmé ses premiers spectateurs, mais son sort est incertain. Il n'est pas sûr que toutes les marques trouvent l'affaire drôle. Pour ces graphistes qui ont travaillé dans la publicité, le film, dont des logos sont les héros, est "un droit de réponse", selon l'expression d'Hervé de Crécy, l'un des réalisateurs, un canular et un moyen d'amorcer un débat sur une idée de la liberté d'expression qui permet qu'on caricature les personnes physiques mais pas les marques.
Sources • Article Stratégie - 23/03/2010 – « L'Union des annonceurs (UDA) prime les campagnes intégrées les plus originales » • Uda.fr • Premiere.fr – 27/03/2010 – « EVENEMENT: Pour ses 50 ans, Télé 7 Jours s'offre une couverture en 3D avec Johnny Hallyday » • Dailymotion – « Logorama »
Depuis quelque semaines je passe des très bon moments en regardant " Mad Men", la série américaine qui nous transporte dans le monde de la publicité des années soixante. Incroyable, hilarant, jouissif !! C'est alors que l'un de mes étudiants m'envoie ce lien vers ce spot incroyable réalisé par Saatchi & Saatchi... la publicité ne passerait-elle pas les 60 ans ?
Un grand merci à Romain Ciria (bon j'avoue, il m'a envoyé le lien en mars... mais bon, le 1er mai sert bien à travailler, non ?) qui a attiré notre attention sur ces images qui montrent une fois de plus les enjeux qui attendent le secteur de la communication aujourd'hui.
• MINI WOOD Mini profite du 80ème salon international de l’auto de Genève pour dévoiler sa nouvelle star, la Mini Countryman. Pour cela, et afin de légitimer ce statut de star, la marque a fait projeter sur le mont Salève l’inscription MINIWOOD, haute de 30 mètres et large de 192. L’inscription était visible lors du premier jour du salon. Ce nouveau mode de communication, très tendance est le beamvertising, à mi-chemin entre le street marketing et l’affichage extérieur qui fait un carton chez les Anglo-Saxons.
• QASHQAI : Il y a quelque temps, Nissan UK a lancé une campagne sur le modèle Qashqai. Le Qashqai reste "Urbanproof" (à l'épreuve de la ville), mais ce thème est rénové pour le modèle 2010. Nissan a donc dévoilé un spot TV très original : c'est en effet le spot de 2007, avec l'ancien modèle. Le nouveau n'apparait donc pas... sauf en fond sonore, où la voix off nous promet un changement haut en couleur pour 2010.
Parallèlement à cette campagne, Nissan a décidé de renforcé sa campagne avec du street marketing (Londres, Manchester, Newcastle et Glasgow) où des véhicules entourant un Qashqai étaient éclaboussés de peinture, alors que le Qashqai restait immaculé. Nissan ne s’arrête pas là, la marque a renforcé lundi sa présence avec un billboard événementiel à Londres sur lequel une copie en fibre carbone du modèle semble évoluer, sans être éclaboussée, contrairement aux véhicules se trouvant au pied de l’installation.
Flash-back : Les jeux olympiques de Vancouver ont été l'occasion pour
les marques et les agences de capter l'attention des gens par des
dispositifs originaux.
Parmi tous les projets, nous en avons
retenus deux principales : • Vitaminwater nous fait chausser les
skis en attendant le bus La boisson énergisante Vitaminwater et son
agence Brokaw ont transformé un abribus en station de télésiège afin
d’immerger un peu plus les adeptes du bus dans l’esprit des jeux. Comme
on le voit sur le visuel, ce dispositif est accompagné d’affiches dont
le ton est dans le registre habituel de la marque, c’est à dire souvent
drôle.
• Affichage interactif et réalité augmentée par Yahoo Yahoo
a déployé une installation mixant du digital à de la réalité augmentée
dans une zone de divertissement qu’elle a aménagé et intitulée
Fancouver. En se posant devant l’écran, les passants voient leur image
agrémentée d’accessoires virtuels en lien avec les jeux olympiques et
souvent marqués Yahoo (casquettes, lunettes de ski, bonnets, etc…).
Cinéma : La jeune Agence Curiouser a concocté il y a peu une opération mixant web et marketing alternatif destinée à faire connaître un film : Les marais criminels. Issu du cinéma dit indépendant, ce film disposait d’un budget réduit, cette agence a su mettre en place plusieurs actions efficaces pour le promouvoir.
Tout d’abord, ils ont construit sur la base d’une google maps une carte interactive permettant de suivre la trace des deux héroïnes du film. Cette carte a permis de « nourrir » une communauté Facebook croissante. Ensuite, ils ont monté une opération de street marketing pour prolonger l’expérience du film dans la vraie vie. Il s’agissait de surprendre les passants parisiens en les confrontant à 2 acteurs du film qui incarnaient leurs personnages : un binôme de tueurs inquiétants. Après avoir questionné les passants, notre tueur laissait sa carte de visite, sur laquelle était écrit : « Je poursuis deux filles, découvrez pourquoi sur lesmaraiscriminels.com. Simple et efficace !
Crédit coopératif : Le Crédit Coopératif lance une nouvelle carte : « la carte Agir ». C’est une carte participative. En effet, pour chaque transaction bancaire, la carte reverse au minimum 5 centimes à des associations. Pour toucher un maximum de monde, une vidéo drôle en caméra cachée à été réalisée nous exposant qu’avec 5 centimes on n’a rien. Un bon moyen de prouver la signature de la campagne : “5 centimes, ça ne paraît rien, mais si tout le monde s’y met, ça change tout !” De plus, c’est une première en France, chaque vue YouTube de la vidéo sur la chaine Carte Agir permet elle aussi de reverser 5 centimes à la fondation. 300 000 vues représentent 15 000 euros pour les associations Pour appuyer la campagne, de nombreux réseaux sociaux ont participé , puisque une page Facebook, une chaine YouTube et un compte Twitter relayent l’info et animent la communauté.
Campagnes de communication gouvernementales : • Tabac Pour la seconde fois la DNF (Association Droits des Non-Fumeurs) s’associe avec l’agence BDDP & Fils pour élaborer un message de prévention à destination du grand public. En 2008, l’association avait déjà communiqué autour du tabagisme passif et la campagne avait été primée par deux fois au grand prix de la communication solidaire. Cette année, il propose un spot dont la signature est « Ne vous faites pas rouler par la cigarette», il s’adresse aux adolescents dont la consommation de tabac semble repartir à la hausse.
Réalisé par Yvan Attal, il présente une réunion d’industriels du tabac qui cherchent à se débarrasser de produits toxiques. Au fil de la discussion, une solution est émise : et si on les faisait avaler aux jeunes? Cette vidéo est accompagnée d’une campagne presse et affichage qui est étonnamment déconnectée du film (univers et signatures différentes)
Évidemment, ces visuels provocants créent la polémique du fait du parallèle limite entre soumission au tabac et soumission sexuelle… En voulant choquer au maximum, l’Agence et l’association peuvent détourner la cible du propos initial en délivrant un message confus et abusif.
• Marianne Le Service d’information du gouvernement (SIG) a lancé une campagne de communication nationale sur le grand emprunt. Sous le slogan « la France investit dans son avenir », cette publicité représente une Marianne enceinte « symbole d’une France porteuse d’espoirs et de projets », qui précise dans un communiqué que « le budget d’achat de cette campagne est de 975.000 euros ». Cette campagne est contestée par le PS, qui en demande l'annulation en soulignant, à moins d'un mois des régionales, "l'obligation de neutralité de l'État". Le parti a dénoncé un "scandale politique, démocratique et budgétaire" dans cette campagne qui est à ses yeux une "propagande politique au service des listes de l'UMP aux frais du contribuable".
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